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On a longtemps cru que la prospection B2B reposait sur le volume.
Plus de messages, plus d’appels, plus de relances.
Mais aujourd’hui, ce qui fait la différence, c’est la qualité du lien.
Le social selling n’est pas une nouvelle technique de vente : c’est la capacité à transformer les conversations en opportunités. C’est une approche où la crédibilité remplace le script, où la confiance précède le pitch, et où LinkedIn devient un vrai terrain de jeu commercial.
Chez Hublead, on le voit chaque jour : les entreprises qui intègrent le social selling à leur prospection génèrent des leads plus qualifiés, plus rapidement.
Mais encore faut-il savoir comment le faire ? On décrypte ça ensemble !
1. Le social selling, ce n’est pas “poster pour exister”
Beaucoup confondent présence et stratégie.
Publier sur LinkedIn ne suffit pas. Ce qui compte, ce n’est pas la portée de vos posts, mais la qualité des conversations qu’ils déclenchent.
Les meilleurs social sellers ne cherchent pas à faire le buzz.
Ils publient du contenu ciblé sur les enjeux précis de leurs prospects, pas sur leur propre actualité.
Exemple : un commercial B2B dans l’industrie ne parlera pas de “prospection digitale”, mais de “comment réduire les cycles de décision dans les appels d’offres”.
Un cabinet RH ne fera pas un post sur “le recrutement”, mais sur “pourquoi les entretiens à distance biaisent vos choix”.
👉 L’objectif : créer du signal de compétence, pas du bruit de contenu.
Et c’est là que la cohérence entre marketing et ventes devient clé.
Les équipes qui alignent leurs sujets LinkedIn avec leur plan de prospection (personas, messages, offres) obtiennent 3x plus de réponses sur leurs messages directs.
C’est précisément ce que permet une plateforme comme Hublead, en reliant vos actions de visibilité à vos données de prospection : les posts et les interactions deviennent des points d’entrée vers vos campagnes multicanales.
2. Repérer les bons signaux avant d’agir
Le social selling, c’est aussi une question de timing.
Chaque jour, vos prospects laissent des indices : un commentaire, une mention, un “like” sur un post d’un concurrent. Ces signaux sont invisibles si vous ne les suivez pas.

Les commerciaux performants ont développé une routine d’observation :
- Identifier les personnes qui interagissent régulièrement avec leurs contenus.
- Vérifier leur rôle et leur degré d’influence dans le cycle d’achat.
- Intervenir au bon moment avec un message personnalisé.
💡 Astuce Hublead : dans une séquence multicanale, un contact LinkedIn qui a interagi trois fois avec vos posts a 60 % plus de chances de répondre à votre e-mail de suivi.
D’où l’intérêt de centraliser ces signaux dans un outil comme le gestionnaire de la relation prospects (PRM) pour ajuster vos relances sans perdre le contexte.
Un bon social seller ne cherche pas à convaincre tout le monde, mais à prioriser ceux qui montrent déjà un intérêt.
C’est la différence entre “parler à tous” et “parler à temps”.
3. Passer du lien à l’action
Le social selling ne remplace pas la prospection, il l’amorce.
Une fois la relation établie, il faut savoir enclencher la suite logique.
C’est souvent là que les commerciaux bloquent : quand relancer, comment transformer une conversation LinkedIn en rendez-vous.
Voici trois formats de relance qui fonctionnent particulièrement bien :
- La relance miroir : rebondir sur un sujet abordé publiquement par le prospect (“Vous évoquiez hier l’enjeu du lead scoring — c’est justement ce qu’on aide nos clients à structurer”).
- La relance insight : partager une ressource utile liée à son problème (“Voici un guide sur comment créer un tunnel de vente performant”).
- La relance transition : proposer un échange sans pression (“Si vous voulez, on peut en parler plus concrètement, c’est exactement le genre de sujet qu’on traite avec nos clients”).
👉 L’idée, c’est de ne jamais rompre le fil de la conversation.
Grâce au gestionnaire de campagnes intégré à Hublead, il devient possible d’automatiser ce suivi avec des messages contextualisés selon les interactions réelles du prospect.
4. Aligner social selling et prospection multicanale
Un message LinkedIn n’a de valeur que s’il s’inscrit dans un parcours cohérent.
Les entreprises les plus performantes combinent aujourd’hui social selling, e-mailing et nurturing automatisé pour créer un flux commercial continu.
Le scénario type :
- Un contact interagit sur LinkedIn →
- Il entre dans une séquence d’e-mails Hublead personnalisée →
- Il reçoit une invitation à un webinar, un cas client ou une offre ciblée →
- La donnée remonte dans le PRM, et la relance se déclenche automatiquement.
Résultat : aucune opportunité ne se perd, et chaque canal nourrit l’autre.
C’est ce qu’on appelle une prospection multicanale intelligente : LinkedIn pour ouvrir la relation, l’e-mail pour la qualifier, et Hublead pour piloter le tout sans friction.
🎯 Bonus tip : les équipes qui synchronisent leurs messages LinkedIn et leurs campagnes d’e-mails obtiennent en moyenne 35 % de conversions en plus sur leurs rendez-vous.
5. Le social selling, levier de performance mesurable
Le grand mythe du social selling, c’est qu’il serait “immatériel”.
En réalité, il est mesurable — à condition de suivre les bons indicateurs.
Les KPIs les plus parlants ne sont pas le nombre de vues ou de likes, mais :
- le taux de conversations initiées à partir de LinkedIn,
- le taux de réponse sur les messages de suivi,
- le nombre de prospects chauds intégrés au pipeline Hublead.
Ces métriques permettent de prouver l’impact du social selling sur la croissance et de l’intégrer pleinement à une stratégie d’acquisition B2B structurée.
6. Les erreurs les plus fréquentes en social selling
Le social selling séduit beaucoup d’équipes commerciales, mais peu en tirent réellement des résultats.
Souvent parce qu’elles tombent dans l’un de ces trois pièges :
1. Poster pour exister
La publication ne doit jamais être une fin en soi.
Le but n’est pas de “faire du contenu”, mais de créer un point de contact.
Chaque post doit avoir une utilité commerciale : nourrir une discussion, renforcer votre crédibilité, ou relancer un sujet déjà amorcé par vos prospects.
👉 Exemple : un post sur “comment aligner marketing et ventes” peut être suivi d’un message privé à ceux qui l’ont commenté — c’est là que commence la prospection.
2. Automatiser trop tôt
L’automatisation ne remplace pas la pertinence.
Programmer 200 invitations LinkedIn n’a aucun sens si votre profil n’inspire pas confiance, ou si vos messages manquent de contexte.
Le secret, c’est de commencer par observer : comprendre ce qui attire l’attention, puis automatiser uniquement ce qui fonctionne.
Un bon outil : comme le gestionnaire de campagnes de Hublead, n’envoie pas plus de messages.
Il envoie les bons messages, au bon moment, aux bons interlocuteurs.
3. Oublier le suivi
Le social selling ne s’arrête pas à la première conversation.
Une publication ne vaut rien si personne ne relance les interactions qu’elle génère.
Et c’est souvent là que se perdent les opportunités : un “like” non suivi, un commentaire laissé sans réponse, un contact LinkedIn jamais intégré dans le pipeline.
Centraliser ces interactions dans un PRM (Prospect Relationship Management) permet d’éviter ces pertes : chaque action : ouverture, clic, réponse, visite de profil : devient un signal suivi, noté et réutilisable pour vos prochaines relances.
7. Les bons indicateurs à suivre
Le social selling n’est pas un levier d’image, c’est un levier de performance.
Mais encore faut-il suivre les bons indicateurs.
Voici les KPI que les équipes Hublead recommandent pour piloter une stratégie rentable :
1. Taux de conversations initiées
C’est la mesure la plus simple et la plus parlante : combien d’échanges qualifiés ont été déclenchés grâce à LinkedIn (messages privés, e-mails ou rendez-vous).
Cet indicateur traduit votre capacité à créer de la proximité, pas seulement de la visibilité.
2. Délai moyen entre première interaction et premier contact
Un bon social selling réduit naturellement le temps entre le premier contact et la prise de rendez-vous.
Si ce délai s’allonge, c’est souvent que vos interactions manquent de structure — un signe qu’il faut mieux coordonner vos actions avec le marketing ou vos séquences d’e-mails.
3. Taux de conversion des interactions sociales
Avec un outil comme Hublead, il devient possible de tracer la chaîne complète :
→ interaction LinkedIn → ajout dans le PRM → relance → opportunité générée.
Ce suivi prouve concrètement la rentabilité du social selling et permet d’identifier les contenus qui génèrent les meilleures opportunités.
4. Volume d’opportunités issues du canal LinkedIn
Ces indicateurs peuvent être suivis dans votre tableau de bord prospectif.
Les entreprises qui pilotent leurs campagnes multicanales avec Hublead observent en moyenne 20 à 30 % de leads additionnels issus de LinkedIn dans leur pipeline.
8. Le rôle de Hublead dans une stratégie de social selling moderne
Mettre en place une stratégie de social selling efficace, c’est une chose.
La connecter à une prospection mesurable, c’en est une autre.
C’est là que Hublead agit comme l’extension naturelle du social selling.
- Son moteur de recherche identifie les bons interlocuteurs sur vos marchés cibles.
- Le gestionnaire de campagnes automatise les séquences d’approche et de suivi, sans jamais perdre la touche humaine.
- Le PRM centralise les interactions LinkedIn, e-mails et nurturing pour vous aider à relancer au bon moment.
Autrement dit : Hublead permet de faire passer le social selling du stade de la conversation au stade du chiffre d’affaires.
Ce n’est plus un sujet de visibilité, mais un levier commercial mesurable, directement intégré à votre stratégie B2B.
Et c’est exactement là que le social selling prend tout son sens : non pas remplacer la prospection, mais la nourrir, l’enrichir et l’humaniser à grande échelle.
9. Conclusion : Du lien à la performance
Le social selling n’est pas une nouvelle technique : c’est un changement de rythme.
Un passage d’une prospection centrée sur le volume à une approche centrée sur la relation, la donnée et le bon timing.
Les équipes qui maîtrisent ce levier construisent des pipelines plus solides, mieux qualifiés, et moins dépendants du hasard.
Mais pour passer à l’échelle, il faut des outils capables de relier la donnée sociale, la donnée marketing et la donnée commerciale.
C’est précisément ce que propose Hublead : une plateforme tout-en-un qui transforme vos interactions LinkedIn en opportunités concrètes, sans perte de temps ni d’énergie.
Et si vos prochaines conversations LinkedIn devenaient vos meilleures opportunités commerciales ?
👉Réservez une démo avec un expert Hublead et découvrez comment structurer votre social selling à l’échelle.





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